Vincent Meessen (né à Baltimore, Etats-Unis et vit à Bruxelles, Belgique) développe une pratique artistique à la fois visuelle, conceptuelle, discursive et collaborative. De l’image en mouvement aux dispositifs de présentation en passant par le design typographique, sa pratique est affaire de méthodes tout autant que de formes. En revisitant des signes, des images et des faits historiques occultés, il sonde les effets actuels de la matrice coloniale héritée de la modernité occidentale. Avec Personne et les autres et ses dix artistes invités, il a représenté la Belgique à la 56e Biennale de Venise en 2015. Depuis, il a participé à d’autres Biennales dont … Juste un Mouvement, 34Th Bienal de Sao Paulo (2021); and other such stories, Biennale d’Architecture de Chicago  (2019);  Généalogies futures, Récits depuis l’Equateur,  Biennale de Lubumbashi(2019); Proregress, Biennale de Shanghai (2019); Fracas et frêles bruits, Printemps de Septembre, Toulouse, (2018); Gestures and Archives of the Present, Future Genealogies, Biennale de Taipei (2016). Expositions personnelles et collaboratives récentes : Blues Klair, The Power Plant,Toronto et  Leonard & Bina Ellen Art Gallery,Université de Concordia, Montréal, 2019; Omar en mai, Centre Pompidou (Paris, 2018) ; Sire, je suis de l’ôtre paye au WIELS (Bruxelles, 2016);  Patterns for (Re) cognition,  avec le peintre Thela Tendu, BOZAR (Bruxelles, 2017); Kunsthalle Basel(2015); KIOSK, Gand  (2013);  Mi última vida, Une grammaire africaine d’après Roland Barthes au MUAC (Mexico, 2013-14). Sélection de films : Juste un Mouvement (2021), Quelle que soit la longueur de la nuit (2020), Ultramarine(2018), One, Two, Three(2015), Clinamen Cinema (2013), Vita Nova(2009). Editions :The Other Country/L’autre pays (2018), Patterns for (Re)cognition (2017), Third Form (2015), Personnes et les autres (2015).

 

Vincent Meessen (born in Baltimore, U.S., lives in Brussels, Belgium) has an artistic practice which is at once visual, conceptual, discursive and collaborative. From the moving image to the structures of presentation and typographic design, his practice is as much about methods as it is about forms. By revisiting signs, images and obscured historical facts, he plumbs the contemporary effects of the colonial matrix, inherited from Western modernity. With Personne et les autres and their 10 invited artists, he represented Belgium at the 56th Venice Biennale in 2015. Since then, he has participated in other biennales including: Juste un Mouvement, 34th Bienal de Sao Paulo (2021); and other such stories, Biennale d’Architecture de Chicago (2019);  Généalogies futures, Récits depuis l’Equateur, Biennale de Lubumbashi(2019); Proregress, Biennale de Shanghai (2019); Fracas et frêles bruits, Printemps de Septembre, Toulouse, (2018) and Gestures and Archives of the Present, Future Genealogies, Biennale de Taipei (2016). His recent solo and collaborative exhibitions are: Blues Klair, The Power Plant,Toronto and Leonard & Bina Ellen Art Gallery, Université de Concordia (Montreal, 2019); Omar en mai, Centre Pompidou (Paris, 2018); Sire, je suis de l’ôtre paye at WIELS (Brussels, 2016);  Patterns for (Re) cognition, with painter Thela Tendu, BOZAR (Brussels, 2017); Kunsthalle Basel (2015); KIOSK, Gand (2013) and Mi última vida, Une grammaire africaine d’après Roland Barthes at MUAC (Mexico City, 2013-14). His filmography includes: Juste un Mouvement (2021), Quelle que soit la longueur de la nuit (2020), Ultramarine (2018), One, Two, Three (2015), Clinamen Cinema (2013) and Vita Nova (2009). Publications include The Other Country/L’autre pays (2018), Patterns for (Re)cognition (2017), Third Form (2015) and Personnes et les autres.